Histoire & Hôtellerie : Qui n’a jamais rêvé d’une nuit au musée?
Quoi de mieux lors d’un séjour au Cambodge que s’endormir entouré d’antiquités et d’œuvres d’art khmères ?
À défaut d’offrir une escapade nocturne au Musée Guimet ou encore à celui de Phnom Penh, les Terres Rouges tentent de satisfaire l’œil et l’esprit par un décor conçu pour sublimer vos rêves. Au-delà de la simple décoration, les œuvres donnent une identité au lieu, cette patine unique pour laquelle de nombreux hôteliers sont aujourd’hui prêts à dépenser –presque– sans compter. L’introduction de l’art dans un hôtel débute souvent par une histoire personnelle, aux Terres Rouges, dans la province de Ratanakiri, les propriétaires ont commencé dès leur mariage à collectionner artisanat et antiquités, la collection est donc née avant l’hôtel, qui s’est construit autour d’un patrimoine à faire pâlir d’envie beaucoup de passionnés du Cambodge.
Un patrimoine unique composé de meubles peints cambodgiens typiques mais faisant la part belle à l’Art Déco importé en Indochine dans les années 30, d’objets religieux provenant de pagodes détruites, d’œuvres d’art, de statues, de vieilles peintures ou affiches, de lustres anciens, mais pas seulement… car tout cela s’inscrit dans une architecture respectant la tradition du pays et dans un jardin fait de toutes les essences que les propriétaires ont pu ramener de leurs voyages en Asie du Sud-Est.
Séjourner aux Terres Rouges, y poser un instant les valises, c’est faire un voyage immobile dans l’histoire, le style et la biodiversité d’un pays unique et particulièrement attachant, le Royaume du Cambodge !
Quoi de mieux lors d’un séjour au Cambodge que s’endormir entouré d’antiquités et d’œuvres d’art khmères ?
À défaut d’offrir une escapade nocturne au Musée Guimet ou encore à celui de Phnom Penh, les Terres Rouges tentent de satisfaire l’œil et l’esprit par un décor conçu pour sublimer vos rêves. Au-delà de la simple décoration, les œuvres donnent une identité au lieu, cette patine unique pour laquelle de nombreux hôteliers sont aujourd’hui prêts à dépenser –presque– sans compter. L’introduction de l’art dans un hôtel débute souvent par une histoire personnelle, aux Terres Rouges, dans la province de Ratanakiri, les propriétaires ont commencé dès leur mariage à collectionner artisanat et antiquités, la collection est donc née avant l’hôtel, qui s’est construit autour d’un patrimoine à faire pâlir d’envie beaucoup de passionnés du Cambodge.
Un patrimoine unique composé de meubles peints cambodgiens typiques mais faisant la part belle à l’Art Déco importé en Indochine dans les années 30, d’objets religieux provenant de pagodes détruites, d’œuvres d’art, de statues, de vieilles peintures ou affiches, de lustres anciens, mais pas seulement… car tout cela s’inscrit dans une architecture respectant la tradition du pays et dans un jardin fait de toutes les essences que les propriétaires ont pu ramener de leurs voyages en Asie du Sud-Est.
Séjourner aux Terres Rouges, y poser un instant les valises, c’est faire un voyage immobile dans l’histoire, le style et la biodiversité d’un pays unique et particulièrement attachant, le Royaume du Cambodge !
LE LODGE
Offrant le confort d’aujourd’hui et les traditions du passé, le Lodge des TERRES ROUGES est le premier & unique établissement de charme de la province de Ratanakiri.
Idéalement situé au bord du lac de Banlung, le Lodge des TERRES ROUGES est fait d’une villa cambodgienne en bois précieux additionnée de bungalows sis au milieu d’un immense jardin exotique.
Cette ancienne demeure du gouverneur de la province évoque le style d’une époque révolue, vieille image sépia d’un monde englouti.
Endroit éminemment convivial, le Lodge des TERRES ROUGES favorise les rencontres entre voyageurs et leur permet de découvrir l’histoire et les traditions des cultures indigènes des hauts plateaux de l’Indochine tout en profitant des meilleurs services actuellement disponibles dans cette province lointaine du Cambodge.
La réception est ouverte 24/7.
Toutes les chambres possèdent leur propre salle de bain.
RATANAKIRI
Province montagneuse située à l’extrême Nord Est du Cambodge, Ratanakiri est un peu le jardin secret du Vieux Royaume.
Peuplée pour l’essentiel de tribus proto-indochinoises telles que Tampouns, Kroeungs, Jaraïs, Katchas… minorités dont la culture et le mode de vie étaient restées pratiquement inchangées depuis la préhistoire, néanmoins Ratanakiri a beaucoup évolué durant la dernière décennie.
Des dizaines de milliers de Cambodgiens de la plaine s’y sont installés, convertissant une grande partie de la région à l’agriculture.
Ratanakiri est une zone de hauts plateaux où alternent cultures (hévéas, noix de cajou, poivre…), forêt futaie, forêt claire, forêt de bambous et maquis. La région est truffée de chutes d’eau, de grottes, de lacs, de mines d’or et de pierres précieuses.
Bordée au Nord par l’immense Parc National de Virakchey, on y trouve encore nombre d’animaux sauvages, tels l’éléphant, l’ours à collier, le sambar, le banteng , le gaur, l’aigle pêcheur, le calao pie et toutes sortes d’oiseaux.
Une nature de toute beauté, des paysages grandioses, des cultures authentiques, mais également des pistes défoncées, une poussière rouge qui vous colle à la peau, des conditions de vie plus rudes qu’ailleurs…
Explorer Ratanakiri, c’est un peu partir à la recherche des origines de l’humanité.
Climat
Saison des pluies : de juillet à septembre
Hiver (saison fraîche) : d’octobre à février
Saison sèche : de mars à début juin
BANLUNG
Elle succède en cela à la ville de Lomphat située plus au sud, sur la rivière Sré Pok et détruite pendant la guerre par l’US Air Force qui n’est plus aujourd’hui qu’un gros village endormi…
Durant toute la saison sèche, un épais nuage de poussière de latérite flotte au-dessus de cette ville du bout du monde qui possède un côté western très prononcé avec ses grandes rues à angle droit et ses maisons uniformément rouges.